Les (més)aventures de Jonathan Anguelov

Jonathan Anguelov a réussi son pari de faire d’Aircall une des plus belles licornes françaises. Mais lorsqu’il a commencé, rien ne l’y prédestinait.

Revenons quelques années en arrière pour évaluer la situation :

  • Un marché déjà concurrentiel
  • Des fondateurs qui ne savent rien de la téléphonie
  • Des fondateurs qui n’ont pas non plus d’expérience dans la gestion d’entreprises tech

Il ne semblait pas que la situation soit idéale pour le succès. Alors, pourquoi l’a-t-elle été ?

Jonathan et les autres fondateurs d’Aircall se sont installés en 2015 à San Francisco et, même si personne ne croyait en eux, ils ont réussi. Le succès s’est acquis par un travail acharné et une innovation dans la manière d’aborder ce marché.

Aircall est l’entreprise de téléphonie corporate qui permet aux utilisateurs d’intégrer tous leurs dispositifs dans une seule application. Cette nouvelle approche est le fer de lance qui leur a permis de triompher et de devenir leader mondial de la téléphonie.

Et après le sommet… que faire ?

Cette question a été l’une des raisons pour lesquelles Jonathan a décidé de quitter Aircall. Pourquoi quitter une entreprise pour laquelle vous avez travaillé si dur, surtout lorsqu’elle est au sommet ? C’est parce qu’il n’aime pas s’ennuyer et préfère poursuivre ses passions.

Il a trouvé un nouveau projet qui a captivé son attention, comme aux débuts d’Aircall : le secteur immobilier. Sa volonté de démocratiser ce secteur et d’avoir un impact environnemental réel est pour lui un devoir en tant que citoyen, mais aussi en tant qu’entrepreneur.

Le fait de laisser Aircall entre les mains d’une autre personne a été motivé par ces deux questions :

  • Est-ce que j’ai envie de refaire 10 ans dans Aircall ?
  • Est-ce que je suis le meilleur sur cette terre pour faire les 10 prochaines années d’Aircall ?

Le désir de rester ou non est le premier point à prendre en compte, évidemment, mais il est aussi nécessaire de se demander si l’on est le choix idéal pour gérer le projet et le mener plus loin. La réponse de Jonathan a été non. Il avait un objectif, et selon ce qu’il nous raconte, il l’avait largement atteint en faisant d’Aircall le leader mondial de la téléphonie.

Contrairement à d’autres chefs d’entreprise, il ne voulait pas être aveuglé par son ego et a préféré se retirer en sachant qu’il avait fait ce qu’il voulait dès le début. Il n’est pas encore fatigué et choisit de chercher de nouveaux défis.

En raison de son caractère infatigable, Jonathan n’a aucune intention d’arrêter d’entreprendre, et nous avons hâte de voir la suite.

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’aventure de Jonathan chez Aircall, regardez la vidéo 👇

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