Quelle est la stratégie adoptée par Kymono pour atteindre sa position actuelle en tant que marque de référence dans le domaine du culture design ?

L’ambition a joué un rôle central dans le parcours de l’entreprise et a été un facteur clé dans le développement de leur approche. Un autre élément déterminant a été leur capacité à « casser les codes », c’est-à-dire à se différencier de leurs concurrents en traitant leurs clients du point de vue B2C, plutôt que de suivre la voie traditionnelle du B2B.

L’ambition et l’innovation dans la méthode de l’équipe Kymono sont la combinaison parfaite pour susciter un troisième facteur : le risque. Et il y en a eu beaucoup. Le risque de ne pas savoir si l’entreprise qu’ils ont chérie et pour laquelle ils ont tant travaillé sera encore là demain ou le mois prochain.

Dans cet extrait, nous découvrons comment un entrepreneur doit faire face à l’incertitude et prendre des risques. La pression peut être écrasante, mais en vaut-elle la peine ? Olivier Ramel, le CEO, est convaincu que oui, et même lors des moments où il n’avait aucune assurance, il est resté fidèle à son plan.

« Il faut avoir confiance en soi, communiquer sans relâche, expérimenter différentes méthodes, car il y a un marché immense, une place à prendre. »

Le fait de rester fidèle à son plan, de s’en tenir à ses principes, même en l’absence de garanties, est essentiel. Parfois, il faut rassurer les personnes avec lesquelles nous souhaitons travailler. Si vous ne croyez pas en vous, qui le fera ? Chez Kymono, l’équipe est résiliente, sympathique, combative, et accomplissent un travail acharné au quotidien. Et c’est cet état d’esprit les a propulsés au sommet de la pyramide.

« Kymono n’est pas un simple fournisseur de textiles : nous sommes des culture designers. »

L’état d’esprit des fondateurs a soutenu une idée qui a connu de nombreuses évolutions au fil du temps (diversification, internationalisation, recrutement rapide…), mais qui a toujours conservé son essence en tant que colonne vertébrale du projet. L’ambition est nécessaire, mais elle doit être associée à une vision claire et à une structure, ainsi qu’à la capacité de mesurer les progrès et de suivre un plan d’action rigoureux.

« La force de Kymono réside dans sa vision de la culture. »

Cette vision est étayée par une formule simple : tester avec le client, apprendre des essais, valider les résultats et intégrer les acquis dans la structure existante, en la définissant petit à petit.

L’état d’esprit évoqué par Olivier Ramel a permis à Kymono de survivre à de nombreuses épreuves, comme il le raconte lui-même. Cherchez votre propre état d’esprit, définissez la culture de votre entreprise, et faites-en votre étendard.

Si vous souhaitez en savoir plus sur le mindset du CEO de Kymono, n’hésitez pas à regarder l’extrait 👇